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Aon prévoit les répercussions de la COVID-19 sur la main-d’œuvre grâce à une application Web interactive

TORONTO (13 mai, 2020) – Aon plc (NYSE : AON) a dévoilé aujourd’hui une application Web interactive qui prévoit l’impact de la COVID-19 sur les effectifs des employeurs dans l’ensemble du Canada.
 
Aon, le principal fournisseur mondial d’une vaste gamme de solutions pour la gestion du risque, des régimes de retraite et des programmes de santé, a conçu l’outil pour aider les employeurs à prévoir les coûts médicaux, l’absentéisme et les besoins éventuels de modification des activités engendrés par la propagation de la COVID-19.
 
« La COVID-19 est une source d’incertitudes dans de nombreux aspects de notre vie, et cette application aidera les employeurs canadiens à bien saisir les risques, a déclaré Greg Durant, actuaire en chef canadien, Solutions de soins pour la santé pour Aon. Le modèle d’impact de la COVID-19 sur les employés d’Aon s’appuie sur les taux d’infection propres aux régions géographiques et sur des modèles épidémiologiques poussés pour prévoir les répercussions sur votre effectif. »
 
Le modèle d’impact de la COVID-19 sur les employés canadiens d’Aon utilise des données démographiques anonymisées portant sur les employés et les personnes à leur charge couverts par le régime de soins de santé de l’employeur. L’application d’Aon combine les données propres aux employeurs et les taux d’infection par région géographique provenant des modèles épidémiologiques les plus réputés*. Il est mis à jour quotidiennement en fonction de la propagation du virus, des mesures de distanciation physique prises par les gouvernements locaux, des pratiques thérapeutiques et du nombre de cas confirmés, d’hospitalisations, de décès et de tests effectués.
 

Exemple de tableau de bord pour un employeur fictif

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L’outil permet aux employeurs d’estimer l’incidence du virus sous l’angle de la baisse de leur effectif. Les employeurs peuvent voir une projection du nombre de cas et une estimation des coûts associés aux réclamations de soins médicaux à une date déterminée. Cette projection et cette estimation peuvent changer quotidiennement en fonction des plus récentes données sur la progression de la COVID-19.

 

« Les conseillers d’Aon travailleront avec les employeurs pour élaborer des plans visant à assurer la sécurité de leurs employés tout en réduisant au minimum les perturbations de leurs activités, a ajouté M. Durant. En cette période d’incertitude, il importe que les organisations disposent de l’information la plus à jour sur laquelle appuyer leurs décisions quant au maintien, en toute sécurité, des activités essentielles. »

 
Les principales fonctions permettent aux employeurs :

  • de visualiser l’incidence sur leur effectif au fil du temps, selon la région géographique;
  • d’estimer le nombre de cas bénins, d’hospitalisations, de séjours aux soins intensifs et de décès en fonction de données démographiques particulières;
  • d’estimer les coûts des soins dentaires, des soins de santé et d’absentéisme associés à la pandémie.

 
L’application continue d’évoluer et englobe maintenant plus de 25 pays. Outre les États-Unis et le Canada, la version « main-d’œuvre mondiale » vise les principaux pays de l’EMOA, de l’APAC et de la région LATAM. La version du modèle pour la main-d’œuvre américaine offre des fonctionnalités spécifiques aux États-Unis, notamment en ce qui concerne l’incidence des coûts sur les soins de santé et les programmes d’indemnisation des travailleurs.
 
L’application est destinée particulièrement aux employeurs qui comptent au moins 500 employés.
 
Pour en savoir plus sur le modèle d’impact de la COVID-19 sur les employés, communiquez avec votre représentant d’Aon ou visitez ici.
 
* Les sources de modèle épidémiologique consultées pour l’élaboration du modèle d’incidence de la COVID-19 sur les effectifs d’Aon incluent : The COVID Tracking Project, les Centers for Disease Control and Prevention, la Kaiser Family Foundation, l’Université Harvard, The Lancet, le Journal of the American Medical Association, The New England Journal of Medicine et l’Imperial College de Londres.

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